Vous avez déjà entendu la phrase suivante:
« le tout est plus grand que la somme des parties? »
D’un point de vue théorique, l’approche systémique appréhende les individus, les groupes, les organisations et la société comme des systèmes qui interagissent ensemble. Lorsqu’un problème survient dans un système (ex : une difficulté d’intégration chez une jeune fille) , il m’est essentiel de porter mon intention sur l’ensemble des systèmes avec qui elle interagit afin de bien cerner les causes de la problématique. L’approche cognitivo-comportementale est centré sur les situations et les problèmes immédiats. Elle accompagne la personne dans le processus qui vise à mettre à jour les schémas cognitifs et comportementaux qui donnent naissance à la situation problématique.
Plutôt que de chercher les causes de la détresse, cette approche cherche les moyens pour améliorer l’état actuel de la personne. Le passé de la personne n’est pas exploré dans le but de comprendre le problème actuel, mais pour y chercher des exceptions aux pensées et croyances qui nuisent à la personne dans le présent.
L’approche cognitivo-comportementale est centré sur les situations et les problèmes immédiats. Elle accompagne la personne dans le processus qui vise à mettre à jour les schémas cognitifs et comportementaux qui donnent naissance à la situation problématique.
Plutôt que de chercher les causes de la détresse, cette approche cherche les moyens pour améliorer l’état actuel de la personne. Le passé de la personne n’est pas exploré dans le but de comprendre le problème actuel, mais pour y chercher des exceptions aux pensées et croyances qui nuisent à la personne dans le présent.
Les interventions peuvent être planifiées et reposent essentiellement sur la relation entre l’intervenant et l’usager. Elles sont basées sur la compréhension du problème et de ses origines, des buts et des motivations de l’usager, ainsi que sur l’équilibre des forces en présence.
Le but de l’intervenant qui adopte l’approche psychosociale est de travailler en collaboration avec la personne qui consulte pour retrouver, renforcer et mobiliser ses forces et ses habiletés d’adaptation, mais aussi pour déterminer les ressources disponibles et trouver les combinaisons optimale entre la personne et son environnement social (Wood et Robinson, 1996).
La Communication Non-Violente (CNV) tire son origine des études d’un psychologue américain nommé Marshall Rosenberg. La CNV propose une communication empathique appuyée sur l’élaboration de quatre éléments fort simple (observation, sentiment, besoin, demande.). La CNV a démontré son efficacité à plusieurs niveaux passant par le rétablissement de relations conflictuelles entre dirigeants de pays jusqu’à celles pouvant être vécues entre un conjoint et sa conjointe par exemple. La CNV tire son efficacité par sa simplicité et son accessibilité.
Plus précisément, elle nous engage à considérer la façon dont nous nous exprimons et dont nous entendons l’autre. Les mots ne sont plus des réactions routinières et automatiques, mais deviennent des réponses réfléchies, émanant d’une prise de conscience de nos perceptions, de nos émotions, et de nos désirs. Nous nous exprimons alors sincèrement et clairement, en portant sur l’autre un regard empreint de respect et d’empathie. Dans tout échange, nous sommes à l’écoute de nos besoins les plus profonds et de ceux de l’autre. La CNV aiguise notre sens de l’observation et nous incite à identifier les comportements et les situations qui nous touchent. Nous apprenons aussi à définir et à formuler clairement ce que nous souhaitons dans une situation donnée. Pour élémentaire qu’elle paraisse, cette démarche est un puissant moyen de transformation. (Rosenberg 1999).
J’utilise l’approche des groupes anonymes afin d’accompagner les personnes qui visent l’abstinence complète d’une ou de plusieurs substances. J’aime utiliser le terme « objet de consommation » dans la mesure où je fais référence à plusieurs types de dépendance (ex : alcool, drogues, médicaments, jeux, relations, sexualité, nourriture, etc. L’application des 12 étapes de rétablissement permet l’arrêt de l’obsession et de la compulsion de l’objet de consommation.
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